GROS DE LORRAINE – CITÉ DE METZ gros au saint-Étienne agenouillé
Avers : S’* STEPH’* P-ROTHO’* M’*, (PONCTUATION PAR UNE SIMPLE ROSE À CINQ PÉTALES).Saint-Étienne à genoux à gauche, la tête nimbée et accosté de deux écussons aux armes de la cité, sous une main bénissante. Saint-Étienne, protomarthyr.Revers : GRO-SSV-S* M-ETE, (PONCTUATION PAR UNE ROSE À CINQ PÉTALES) ; LÉGENDE EXTÉRIEURE (ÉCU MESSIN) BNDICTV’° SIT: NOME’° DHI’° NRI’° IHV’° XPI’°. Croix cantonnée de quatre étoiles et surmontée d’un écusson aux armes de la cité. Que le nom de notre Seigneur Jésus Christ soit béni.
Ce gros, avec des lettres onciales, a probablement été frappé à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle. Ce type monétaire ayant été immobilisé pendant près de trois cents ans, la datation de ces gros est souvent assez approximative. Ce gros est frappé sur un flan large et assez régulier pour ce type de monnayage. Exemplaire recouvert d’une jolie patine grise de médaillier certain verront une légère faiblesses de frappe au niveau du personnage.Type : gros au saint-Étienne agenouillé
Date : c. 1450
Nom de l’atelier/ville : Metz
Métal : argent
Diamètre : 26,5 mm
Poids : 2,73 grs.LORRAINE – CITÉ DE METZ(XVIe siècle)Par le traité de Chambord du 15 janvier 1552, les princes allemands cèdent les Trois Évêchés à la France contre une aide d’Henri II destinée à renverser Charles Quint du trône impérial. En avril, les Trois Évêchés sont occupés. Charles Quint vient mettre le siège devant Metz en novembre 1552. La ville est défendue par François de Guise. Le siège mené par le Duc d’Albe doit être levé le 2 janvier 1553. Au traité de Cateau-Cambrésis, le 3 avril 1559, la possession des Trois Évêchés est confirmée à la France.
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